Appel à Manifestation d’Intérêt pour l’occupation et l’exploitation de Hangarettes
Parking
Depuis le 1er juillet 2025, le parking est payant.
Appel à Manifestation d’Intérêt pour l’occupation et l’exploitation de Hangarettes
Cette démarche vise à sélectionner un ou plusieurs porteurs de projet pour exploiter ces anciens abris militaires déclassés à l’architecture unique en Touraine et leur redonner vie à travers des activités économiques, commerciales ou culturelles ouvertes au public.
Ce projet s’inscrit dans la stratégie du Syndicat Mixte pour l’Aménagement et de Développement de l’Aéroport International de Tours Val de Loire (SMADAIT) pour la période 2024–2035, qui entend faire du site aéroportuaire un lieu vivant et attractif. Le SMADAIT vise l’ouverture au grand public et la réactivation d’un site patrimonial unique en Touraine, dont l’architecture exceptionnelle témoigne de l’héritage aéronautique civil et militaire du site depuis 110 ans.
La zone des hangarettes, jusqu’ici non accessible, va ainsi reprendre vie en associant développement économique, accueil du public et la valorisation du patrimoine local. Le secteur concerné comprend 4 hangarettes de 425 m² chacune, 2 souterrains ainsi que de vastes espaces extérieurs de 7,5 hectares pouvant également être valorisés.
L’AMI est ouvert à tout porteur de projet (individuel ou groupement) capable de garantir la cohérence économique et la dynamique collective du projet. Le cahier des charges est disponible sur le site internet www.smadait.fr/commande-publique.
Depuis le 1er JUILLET, le parking de l’aéroport est payant.
L’aéroport de Tours Val de Loire était l’un des derniers aéroports de France avec un parking non sécurisé. Un investissement pour la sécurité et la qualité de vie des passagers et des usagers. Le Syndicat Mixte de l’Aéroport Tours Val de Loire a souhaité offrir à ses passagers et visiteurs un espace de stationnement plus sûr, moderne et agréable. Les travaux en cours comprennent la sécurisation des accès, l’installation de vidéo-protection, la sécurisation des parcours piétons, l’intégration des mobilités douces et la végétalisation des abords, afin de renforcer la tranquillité et le confort de tous.
Une gestion responsable et durable
La mise en place d’un accès payant permettra de garantir l’entretien et la maintenance régulière du site, tout en contribuant à une gestion plus efficace des flux de véhicules. Des pistes cyclables ont été aménagées avec un abri vélo pour les basés. La protection du parcours piéton et du parvis de l’aérogare a été améliorée.
Des tarifs adaptés et accessibles
Les tarifs sont disponibles dans l’onglet parking. La gratuité pour la dépose des passagers sera de 2h, permettant aussi de profiter du restaurant de l’aéroport. Les tarifs sont dans la moyenne des tarifs des aéroports de taille comparable en France. Par exemple, la semaine de stationnement coûtera 50€.
- Pose de clôtures, potelets et lisses en bois
- Pose de barrières de contrôle d’accès au parking
- Création de cheminements piétons
- Création d’itinéraires cyclables
- Création d’un abris vélo
- Sécurisation du parvis de l’aérogare
- Création de places de stationnements perméables et modification de places existantes
- Végétalisation et aménagements paysagers
- Sécurisation du bassin d’orage
- Modification et végétalisation du giratoire
- Restructuration de l’aire de retournement
Pendant toute la durée des travaux, nous ne sommes pas en mesure de garantir l’accès à toutes les places de stationnement.
Merci pour votre compréhension.
MAÎTRE D’OUVRAGE
MAÎTRE D’OEUVRE
MANDATAIRE
Histoire de l'Aéroport en quelques images...
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
1917 - 1919 : L’école devient américaine avec l’entrée en guerre des États-Unis
Cette vue de l’extrémité sud du terrain prise depuis le haut du hangar n°6, permet de voir les Sopwith 1A français mis à la disposition de l’école américaine. En 1919, l’armée française récupère le camp d’aviation et installe le 31er régiment aérien d'observation. En 1922, l’Aviation Club de Touraine est créé sur le camp d’aviation de Parçay-Meslay
1929 : Première aérogare civile
Ce chalet construit à Sainte-Radegonde puis rapidement déplacé à Parçay-Meslay à la demande des militaires, se compose d'un bar avec salle de restaurant, d'une chambre de passage, d'un lavabo, de toilettes et d'un poste téléphonique. Son exploitation est confiée à l'Aéro-Club de Touraine (Union de l‘Aviation-Club et de l’Aéro-Club en août 1930). Un hangar destiné à abriter les appareils, ainsi qu'un atelier de réparations, se situe à côté. Le mécanicien servant de gardien du « Club-House ». En 1933, le Ministre de l’Air, Pierre Cot, inaugure cette aérogare située au nord-est du camp d’aviation militaire.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
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Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
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Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
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Octobre 1915 : Création de l’école d’aviation militaire de Tours
Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
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Le terrain, qui était une zone de manœuvres militaire pour le 66e Régiment d’Infanterie de Tours, devient centre d’entraînement sur biplan Caudron G.3 utilisé pour le réglage des pièces d’artillerie, les missions d’observation et la formation des pilotes. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.


